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GIN
Le gin est l’un des spiritueux les plus polyvalents et tendance de ces dernières années, apprécié pour sa fraîcheur et sa richesse aromatique. Élaboré à partir d’un alcool neutre redistillé avec des baies de genièvre et diverses plantes aromatiques (botaniques), il offre une palette de saveurs infinie allant des notes florales et citronnées aux profils plus épicés et herbacés. Originaire d’Europe, il est devenu un incontournable des bars et de la mixologie grâce à des cocktails emblématiques comme le Gin Tonic, le Negroni ou le Martini. Les distilleries artisanales et maisons historiques rivalisent de créativité en utilisant des ingrédients locaux, des méthodes de distillation innovantes et des recettes originales pour donner naissance à des gins premium. Qu’il s’agisse d’un London Dry classique, d’un gin contemporain fruité ou d’un Navy Strength plus puissant, chaque style reflète un savoir-faire et un équilibre unique. Dégusté pur, avec un tonic de qualité ou intégré dans des cocktails sophistiqués, le gin séduit autant les amateurs que les mixologues professionnels par sa capacité à exprimer des arômes précis et rafraîchissants. Découvrez notre sélection de gins soigneusement choisis, des grandes références internationales aux productions artisanales confidentielles, pour explorer toute la richesse et la diversité de ce spiritueux incontournable.
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- Marque : ISLE OF RAASAY
Gin : l’esprit du genièvre, entre tradition et renouveau
Parmi les spiritueux qui façonnent la scène mondiale, le gin occupe une place à part. Derrière son apparente simplicité — un alcool neutre parfumé aux baies de genièvre — se cache une richesse infinie. Sec et tranchant dans sa version London Dry, velouté lorsqu’il adopte le style Old Tom, ou débordant d’exotisme dans ses déclinaisons artisanales contemporaines, il est devenu l’un des piliers de la mixologie et un terrain de jeu pour les distillateurs. Aujourd’hui, le gin séduit autant par sa précision technique que par sa capacité à exprimer un terroir, une idée, une émotion.
Ce guide se veut celui d’un caviste expert, qui vous accompagne pas à pas : comprendre l’histoire du gin, distinguer ses styles, explorer ses arômes, reconnaître les grandes signatures, choisir la bonne bouteille selon l’usage. À travers cette plongée, vous disposerez des clés pour approcher ce spiritueux avec précision et plaisir, que ce soit pour composer un gin tonic d’une limpidité cristalline, un Negroni d’une profondeur aromatique, ou pour savourer un gin artisanal servi pur.
Histoire et origines du gin
Le gin naît de la rencontre entre deux traditions : celle du genever hollandais, au XVIe siècle, et celle des distillateurs anglais qui vont l’adopter puis l’affiner. Le genever, plus proche d’une eau-de-vie de céréales maltées, offrait des saveurs rustiques, céréalières, adoucies par le genièvre. Lorsqu’il traverse la Manche, l’Angleterre du XVIIIe siècle est en pleine expansion urbaine. L’alcool devient un exutoire populaire : c’est le fameux Gin Craze, période où les rues de Londres se remplissent de petites distilleries improvisées.
Peu à peu, l’art de la distillation se raffine. Le London Dry Gin apparaît : sec, droit, limpide, il devient la référence. Dans les hôtels prestigieux du XIXe siècle, il s’impose dans les premiers cocktails classiques : Gin Fizz, Martini Dry, Tom Collins. La prohibition américaine au XXe siècle contribue à sa diffusion mondiale, et les grandes maisons britanniques comme Tanqueray ou Beefeater s’installent dans l’imaginaire collectif. Le XXIe siècle marque une nouvelle révolution : celle des gins artisanaux. En France, au Japon, en Espagne, en Australie, des distillateurs réinventent la catégorie avec des ingrédients locaux, des approches bio, des distillations innovantes.
Styles et définitions du gin
La législation européenne stipule que le gin est une boisson spiritueuse aromatisée au genièvre, mais au-delà de cette base, une diversité de styles s’offre à l’amateur. Chaque mention porte une promesse sensorielle et oriente l’usage.
- London Dry Gin : sec, cristallin, marqué par le genièvre et les agrumes. Référence absolue pour un gin tonic net et rafraîchissant.
- Distilled Gin : distillé avec botanicals, parfois enrichi d’arômes naturels après distillation. Plus souple, plus ouvert à l’expérimentation.
- Compound Gin : aromatisé par simple macération. Profil plus direct, parfois rustique, mais qui connaît un regain artisanal.
- Old Tom Gin : légèrement sucré, plus rond. Style historique remis au goût du jour, parfait pour des cocktails comme le Tom Collins.
- Navy Strength Gin : à 57 % vol., puissant, texturé, il offre une intensité aromatique rare et une assise idéale en mixologie.
- Sloe Gin : liqueur de gin aux prunelles macérées. Moins fort (25–30 %), fruité, gourmand, souvent utilisé en digestif ou en cocktails.
- Gins contemporains : gins bio, terroirs français, gins japonais au yuzu, gins méditerranéens aux herbes… Ils reflètent la créativité mondiale.
Botanicals : la signature aromatique du gin
Le gin est un spiritueux d’assemblage aromatique. Si le genièvre est son cœur — avec ses notes résineuses, légèrement poivrées, camphrées — chaque distillateur choisit ses botanicals pour composer une véritable symphonie sensorielle. Un gin peut jouer sur la fraîcheur zestée des agrumes, sur l’élégance florale, sur la profondeur épicée ou sur la gourmandise racinaire.
- Agrumes : citron, orange amère, pamplemousse, yuzu. Ils apportent vivacité, luminosité et une pointe d’amertume élégante.
- Épices : coriandre, cardamome, poivre de Cubèbe. Elles confèrent tension, chaleur et complexité.
- Herbes : thym, romarin, basilic, verveine. Un souffle méditerranéen, parfumé, herbacé.
- Racines : angélique, réglisse, iris. Elles fixent les arômes, ajoutent texture et profondeur.
- Fleurs : lavande, camomille, fleur de sureau, violette. Délicatesse, raffinement, notes aériennes.
Cette liberté botanique est ce qui distingue le gin des autres spiritueux. Là où un whisky exprime surtout son terroir et son vieillissement, le gin devient le miroir de l’imaginaire du distillateur. Un gin japonais au thé vert et au sakura évoque la subtilité et la grâce nippones, tandis qu’un gin français aux herbes de Provence évoque soleil, garrigue et convivialité.
Distillation : l’art de transformer les plantes en parfum liquide
Derrière chaque gin se cache une méthode de distillation qui conditionne la clarté, la texture et la persistance aromatique. L’alcool neutre — souvent issu de céréales — sert de toile blanche. Les distillateurs y apportent la couleur par leurs choix techniques.
- Macération et distillation : les botanicals macèrent avant d’être redistillés. Résultat : intensité et concentration aromatique.
- Percolation : les vapeurs traversent un panier d’aromates suspendu dans l’alambic. Résultat : finesse, légèreté, arômes cristallins.
- Distillation sous vide : innovation contemporaine. Permet d’extraire les notes les plus fragiles (concombre, fleurs) à basse température.
L’alambic joue aussi un rôle crucial. Le cuivre, par ses propriétés catalytiques, polit le distillat, élimine les notes soufrées et affine la texture. Le maître distillateur, tel un parfumeur, ajuste les coupes — têtes, cœur, queues — pour trouver l’équilibre entre puissance et élégance. C’est cet art du détail qui distingue un gin artisanal précis d’un produit standardisé.
Les grandes régions et pays du gin
Si le gin est né en Europe, il a conquis le monde. Aujourd’hui, chaque pays imprime sa signature aromatique, héritée de son terroir, de ses botanicals et de ses traditions. Explorer cette carte mondiale, c’est voyager d’un verre à l’autre, avec des styles qui racontent une culture.
- Angleterre : patrie du London Dry Gin. Ses gins sont droits, secs, précis. Tanqueray, Beefeater, Sipsmith incarnent ce classicisme élégant, idéal pour un gin tonic ciselé.
- Espagne : royaume du gin tonic servi en copa ballon. Les gins espagnols flirtent souvent avec la gourmandise : fruits rouges, agrumes solaires, fleurs méditerranéennes.
- France : explosion artisanale depuis 2010. Citadelle, Generous, mais aussi de petites distilleries régionales qui valorisent plantes locales, algues, fruits du verger. La France propose des gins de gastronomie, parfois bio.
- Japon : raffinement et équilibre. Botanicals emblématiques : yuzu, thé vert, fleurs de sakura, poivre sansho. Ki No Bi ou Roku traduisent la précision nippone.
- Allemagne : pionnière du craft moderne. Monkey 47, avec ses quarante-sept plantes, a imposé la complexité aromatique comme une nouvelle norme.
- États-Unis : la scène du gin reflète la diversité américaine. Distilleries artisanales, gins vieillis en fûts, navy strength expressifs. Style inventif, sans carcan.
- Australie & Nouvelle-Zélande : terroirs lointains, botanicals indigènes (baies natives, eucalyptus, épices locales). Des gins solaires, puissants, très identitaires.
- Scandinavie : Hernö en Suède incarne la fraîcheur nordique, avec des gins clairs, forestiers, au genièvre cristallin et aux herbes boréales.
Lexique sensoriel du gin
Un gin se lit comme un parfum. Derrière chaque gorgée, un paysage sensoriel. Pour mieux choisir, il faut apprivoiser ce vocabulaire aromatique qui guide le palais.
- Floraux : lavande, jasmin, camomille, fleur de sureau. Ils apportent délicatesse et élégance, une impression aérienne.
- Agrumes : citron jaune, orange sanguine, yuzu, pamplemousse rose. Une fraîcheur zestée qui éclaire la bouche.
- Épicés : cardamome, poivre, cannelle, gingembre. Ils offrent chaleur, tension et une longue persistance.
- Résineux : genièvre, pin, sapin. Colonne vertébrale du gin, ils rappellent les forêts et structurent l’ensemble.
- Balsamiques : réglisse, menthol, eucalyptus. Sensation fraîche, presque médicinale, qui allonge la finale.
- Herbacés : romarin, thym, basilic, estragon. Un souffle végétal, vif et franc.
L’art de déguster un gin réside dans l’équilibre entre ces familles. Un London Dry s’oriente vers le résineux et l’agrume. Un gin japonais privilégiera la finesse florale et agrumée. Un gin méditerranéen jouera sur les herbes et les fleurs. Chaque profil raconte un style de dégustation et oriente l’accord culinaire ou cocktail.
Maisons emblématiques et distilleries artisanales
Le marché du gin oscille entre grandes maisons historiques et distillateurs indépendants. Chacun joue un rôle : les premières garantissent des repères fiables, les seconds incarnent la créativité et l’audace.
- Tanqueray, Bombay Sapphire : des classiques qui assurent constance et accessibilité. Parfaits pour le gin tonic.
- Sipsmith, Plymouth Gin, Hendrick’s : pionniers du renouveau premium. Le concombre et la rose d’Hendrick’s ont ouvert la voie à un gin plus aromatique.
- Monkey 47 (Allemagne), Hernö (Suède), Ki No Bi (Japon), Citadelle et Generous (France), Four Pillars (Australie) : distilleries artisanales qui placent le gin au niveau d’un spiritueux de dégustation à part entière.
Ces maisons incarnent la diversité du gin : du plus sec au plus floral, du plus classique au plus expérimental. Pour l’amateur, elles offrent une cartographie des possibles.
Économie et tendances actuelles
Le gin connaît une croissance fulgurante. Sur le marché mondial, il pèse plusieurs milliards d’euros et continue de séduire de nouveaux publics. Trois tendances dominent :
- La montée en gamme : l’amateur recherche désormais des gins premium, bio, artisanaux, qui expriment un terroir et un savoir-faire.
- Le boom du gin tonic : en Espagne, en France, dans les bars du monde entier, le gin tonic est devenu un rituel, un art de vivre. Le choix du gin et du tonic façonne l’expérience.
- L’innovation : distillation sous vide, vieillissement en fûts, intégration de botanicals exotiques. Le gin devient un laboratoire d’idées.
Comment choisir son gin ?
Choisir un gin, c’est associer goût, usage et budget. Voici quelques repères pour s’orienter.
- Par goût : sec et droit (London Dry), floral et raffiné (Hendrick’s, Generous), épicé et profond (Monkey 47).
- Par usage : gin tonic (London Dry), cocktails (Old Tom, gins premium), dégustation pure (gins vieillis ou artisanaux complexes).
- Par budget : entrée de gamme (20 €), premium (50–80 €), prestige (>100 €).
Accords mets & gin
Le gin se prête à des accords audacieux. Sa vivacité aromatique sublime certains plats qu’aucun autre spiritueux ne saurait accompagner.
- Fruits de mer : un gin aux agrumes éclaire un ceviche ou des huîtres.
- Fromages frais : chèvre, feta, ricotta dialoguent avec un gin floral.
- Viandes blanches : volaille rôtie ou curry doux se marient à un gin épicé.
- Desserts : tarte au citron, fruits rouges, glace vanille trouvent écho dans un gin fruité.
Cocktails emblématiques au gin
Le gin est le socle de la mixologie classique. Quelques recettes incontournables :
- Gin Tonic : simplicité et fraîcheur, à personnaliser avec des zestes ou des baies.
- Dry Martini : alliance iconique de gin et de vermouth sec.
- Negroni : équilibre parfait entre amertume, douceur et vivacité.
- Gimlet : lime cordial et gin, direct et désaltérant.
- Bramble : modernité fruitée avec mûres et citron.
- Tom Collins : fraîcheur pétillante avec Old Tom Gin, citron et eau gazeuse.
FAQ – Tout savoir pour bien choisir et savourer le Gin
Quelle différence entre le gin et le genièvre (genever) ?
Le genever hollandais est une eau-de-vie de céréales maltées, plus ronde et rustique, parfumée au genièvre. Le gin, codifié en Angleterre, est distillé sur une base neutre, plus sec et épuré, centré sur le genièvre et les botanicals.
Qu’est-ce qu’un London Dry Gin ?
Un London Dry Gin est distillé avec ses aromates et ne peut recevoir ni sucre ni arôme artificiel après distillation. Sec, tranchant et précis, il incarne l’élégance classique du gin et reste la référence en mixologie.
Quelle est la teneur habituelle en alcool du gin ?
La plupart des gins oscillent entre 40 et 47 % vol.. Les styles Navy Strength montent à 57 %, offrant une intensité aromatique saisissante. Certains gins artisanaux dépassent même 60 %.
Qu’est-ce qu’un Old Tom Gin ?
Un Old Tom Gin est une version plus douce et légèrement sucrée, héritée du XIXe siècle. Il offre une texture plus ronde et se prête parfaitement à des cocktails historiques comme le Tom Collins.
Quels sont les botanicals les plus utilisés ?
Outre le genièvre, on retrouve souvent coriandre, angélique, cardamome, zeste de citron ou d’orange, poivre, racine d’iris, réglisse. Chaque distillerie compose sa partition : certains privilégient la fraîcheur des agrumes, d’autres la complexité épicée ou la finesse florale.
Pourquoi trouve-t-on des gins vieillis en fûts ?
Certains distillateurs choisissent de faire reposer le gin en fûts de chêne ayant contenu du bourbon, du sherry ou du vin. Cela lui apporte rondeur, notes vanillées, épices douces et une texture proche de celle d’un whisky léger.
Le gin est-il toujours transparent ?
La plupart des gins sont limpides. Mais un gin vieilli en fût prend des reflets dorés, et un Sloe Gin, infusé aux prunelles, affiche une teinte rubis.
Quel est le meilleur gin pour un gin tonic ?
Un gin sec et équilibré est idéal : Tanqueray, Etsu, Nikka, Scapegrace mais aussi Citadelle ou des gins artisanaux aux agrumes. L’important est d’ajuster le tonic et la garniture (zeste, baie, herbe fraîche).
Peut-on boire du gin pur ?
Oui. Certains gins premium ou vieillis se dégustent purs, à température ambiante ou légèrement rafraîchis. Un verre tulipe ou copita concentrera les arômes et mettra en valeur sa texture.
Quels cocktails incontournables reposent sur le gin ?
Les grands classiques : Gin Tonic, Dry Martini, Negroni, Tom Collins, Bramble, Gimlet. Chacun révèle une facette différente du gin, de la fraîcheur zestée à l’amertume raffinée.
Existe-t-il des gins bio ?
Oui. De plus en plus de distilleries produisent des gins certifiés bio, avec alcool de céréales issues de l’agriculture biologique et botanicals cultivés sans pesticides. C’est une tendance forte, qui séduit les amateurs en quête de naturalité.
Quel est le gin le plus fort ?
Les gins Navy Strength, embouteillés à 57 % vol., sont les plus puissants. Ils étaient historiquement conçus pour enflammer la poudre à canon : un gage de force et de concentration aromatique.
Quelle est la meilleure marque de gin ?
Tout dépend du goût recherché. Pour la tradition : Tanqueray. Pour l’originalité : Monkey 47, Ki No Bi, Hendrick’s, Etsu, Scapegrace. Pour la finesse artisanale française : Citadelle, Generous, Audemus.
Combien de temps se conserve une bouteille ouverte ?
Un gin, fort en alcool, se conserve plusieurs années sans s’altérer. Il doit être stocké debout, bouchon fermé, à l’abri de la lumière et de la chaleur. Contrairement au vin, il n’évolue pas vraiment après ouverture.
Pourquoi l’Espagne est-elle si attachée au gin tonic ?
Parce qu’elle a transformé le gin tonic en art de vivre. Servi dans de grands verres ballon, garni de baies, d’agrumes ou d’herbes fraîches, il est devenu une expérience sensorielle à part entière dans les bars espagnols.
Le gin contient-il du sucre ?
Un London Dry n’en contient pas. Les styles Old Tom ou les liqueurs de type Sloe Gin peuvent en avoir, mais toujours en petite quantité et mentionnée sur l’étiquette.
Quel budget prévoir pour un bon gin ?
Un gin correct démarre autour de 20–25 €. Entre 35 et 50 €, on trouve des gins artisanaux remarquables. Au-delà de 70–100 €, ce sont des éditions premium ou limitées, destinées aux connaisseurs.
Quel verre et quelle température pour servir le gin ?
Le gin se savoure dans un verre tulipe ou un copita pour la dégustation pure, à 16–18 °C. En gin tonic, privilégiez un grand verre ballon rempli de glace pour sublimer fraîcheur et effervescence.
Doit-on ajouter de l’eau ou de la glace au gin ?
Une goutte d’eau peut révéler certains arômes dans un gin puissant. La glace est idéale en gin tonic ou en cocktails, mais elle anesthésie la palette si l’on déguste le gin pur.
Que regarder en priorité sur l’étiquette ?
Le style (London Dry, Old Tom, Navy Strength), le degré d’alcool, les mentions “bio” ou “botanicals locaux”, et le nom du distillateur. Ces informations orientent immédiatement sur le profil et la qualité.